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National 2 (J23) - Helder Esteves : « Un match qui nous ramène trois points »

Les réactions de Helder Esteves et de Nicolas Poulain après la victoire (1-0) hier soir contre l'USM Endoume lors de la 23ème journée de National 2.

Publié le
24 mars 2019
NATIONAL 2

Helder ESTEVES, entraîneur du FC Annecy : « On a pris trois points en étant moyen. Notre adversaire a mieux attaqué le match que nous, mais ensuite on a remis un peu les choses à plat et on a été capable de reprendre l’ascendant. Nos mouvements n’étaient pas toujours très aboutis, et donc nous n’avons pas eu beaucoup de situations. Mais on a su faire preuve de caractère et de personnalité jusqu’à la fin et je suis content qu’on marque sur un coup de pied arrêté. On était un peu déficient par rapport à nos adversaires dans ce domaine. Pour gagner un championnat, il faut être capable de marquer sur coups de pied arrêtés. Un grand respect à cette équipe d’Endoume qui a fait un très bon match. Je reconnais que le premier carton rouge est sévère. On a été un peu en dessous en début de match dans les duels et l’agressivité. Il y a des choses à revoir, ce n’était pas un match parfait mais c’est un match qui nous procure des sensations et qui nous ramène trois points »

Nicolas POULAIN, milieu de terrain du FC Annecy : « C’était important de se remobiliser après deux matchs sans victoire surtout avant un gros mois d’avril qui nous attend. Ce n’était pas notre meilleure prestation de la saison mais ça fait du bien de gagner des matchs de cette manière. A sept journées de la fin, l’important c’est de prendre les trois points. La manière passe au second plan même si on aurait aimé être plus productif devant notre public. On a manqué d’agressivité surtout en première mi-temps. On a rectifié le tir en seconde période et on a davantage posé le jeu. C’est bien de marquer sur coup de pied arrêté. On sait qu’on a un peu de mal sur les phases arrêtées. Quand on n’arrive pas à trouver les solutions dans le jeu, c’est important d’avoir ces armes là. On est allé chercher cette victoire comme des hommes. On va pouvoir travailler sereinement pour bien préparer le déplacement à Fréjus dans 15 jours ».

Propos recueillis par Jean-Baptiste VIVIAND 

 

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