Pour le moment, vous êtes plutôt épargnés par les tirages ?
« Je vous dirai ça à la fin du match. La Coupe de France est réputée pour ça, il y a tout le temps des surprises. On va tout faire et on se prépare pour éviter d'être dans le lot des mauvaises surprises de ce tour là. Le tirage au sort est bon quand vous passez : si vous tirez le PSG et que vous êtes au tour suivant, c'est un bon tirage. La probabilité de gagner est plus ou moins importante mais n'est jamais à 0% dans tous les cas. L'histoire de la Coupe de France est faite d'exploit et c'est en ça qu'elle est belle. »
Le scenario idéal est de tout de suite mettre la main sur le match ?
« Vous savez, contre Saint-Etienne on ouvre le score rapidement et cela réveille l'adversaire. Ce n'est pas parce que l'on ouvre le score que c'est fait. Si une différence doit se voir, c'est au niveau athlétique. Quel que soit le score, quelle que soit l'évolution du match, une équipe doit fatiguer avant l'autre. Après, dans tous les exploits qui ont existé, j'ai vu des équipes finir éreinté et ils arrivaient à aller chercher un résultat. Si l'on peut faire le break rapidement, oui, mais je suppose qu'ils ne sont pas d'accord et ils peuvent aussi ouvrir le score. Je ne m'attends pas à un scenario en particulier car ce qui m'intéresse c'est d'être qualifié à la fin du match. »
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